p.503 – note 3

 

R. P.Germain de Saint Stanislas, C.P., La séraphique vierge de Lucques, Gemma Galgani, p.171 :

« Mais qu’est-ce que je sens ? je ne puis, ô mon Dieu m’abandonner à cette douceur, à cette félicité ! Qu’est-ce, mon Dieu, qu’est-ce que je sens ? Ah ! je vous sens dans mon cœur, je vous y sens comme vivant. Quel mystère ! je me sens en paradis. Une fois ou l’autre, Jésus, à vous sentir ainsi comme palpiter dans mon cœur, je mourrai. Ô Jésus, si un jour on pouvait dire que votre amour m’a consumée ! Non, non, Jésus, ne m’ordonnez plus de vous aimer. Non, non, je ne vous demanderai plus d’amour, car je n’en puis supporter davantage. Ne me consumez plus ; je suis à bout de forces. »