p.498 – notes 1 et 2
R. P.Germain
de Saint Stanislas, C.P., La séraphique
vierge de Lucques, Gemma Galgani, p.163 :
« Après avoir
communié, j’ai senti Jésus venir ; et savez-vous comment ? A peine
mon cœur l’avait-il reçu qu’il s’est mis à battre bien fort, comme pour briser
la poitrine. Jésus m’a demandé si je l’aimais vraiment. J’ai répondu que oui. –
Et Vous, lui ai-je dit à mon tour, m’aimez-vous bien ? – Alors Jésus m’a
comblée de caresses, m’a baisée paternellement, et je me suis réduite en
cendres devant Lui. »
R. P.Germain
de Saint Stanislas, C.P., La séraphique
vierge de Lucques, Gemma Galgani, p.163 :
« Ces petits
évanouissements qui m’arrivent en présence de Jésus, écrivait Gemma, se
multiplient de plus en plus. Mais si Jésus continue, il restera tout
seul. »
R. P.Germain
de Saint Stanislas, C.P., La séraphique
vierge de Lucques, Gemma Galgani, p.163 :
« Mon bien-aimé
Jésus, mais si vous donnez à tous de brûler ainsi et de se consumer devant
vous, personne n’y pourra tenir, et vous resterez seul, seul. »
p.498 – AJOUT: note 1
Précieux Recueil, p.56 (Notre Seigneur à une âme intérieure, T.M.) :
« Dis-moi encore que tu
m'aimes, cela me fait plaisir de t'entendre me le dire ! »