p.442 – note 3

 

Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique, p.186 :

« Je n’ai rien noté. Je ne pourrais plus le faire qu’en cherchant, en fixant les souvenirs, je ne le veux pas : il faut qu’ils coulent. »

 

Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique, p.184 :

« A moins de défense, je décide que, si j’écris, ce sera la nuit ou le jour, dans les moments où mon être est encore ravi et où la plume court sans que j’y pense, presque la conscience, le jugement, éclairés, guidés par quelque chose qui n’est pas de la terre. »