p.424 – note 1 et 2
Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique,
p.231 :
« Père, je ne peux
pas dire : c’est trop, trop au-dessus de l’homme. Qu’un tel amour soit
possible et qu’il reste ignoré du grand nombre et qu’on ne laisse pas tout pour
le chercher est un affreux malheur.
[…] Et j’écris et la
vague d’amour soulève tout mon être. Dans quel océan nous sommes baignés sans
le savoir. »