p.422 – note 2

 

Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique, p.228 :

« Père, pardonnez-moi ; je dis mal. Tous les mots sont pauvres, pleins de brutalité. Ils ne peuvent pas fixer cette richesse, cette vie ; comme la liberté morale, il semble qu’on les nie quand on les exprime, tellement on les déforme, tellement elles sont insaisissables ! »