p.390 – note 1

 

Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique, p.258-259 :

« J’ai accueilli votre envoyée comme une mère, et je crois bien que tout de suite, et avec confiance et tendresse, elle a été ma fille. C’était bon de parler de Dieu, de son amour, du devoir tout court même, devant ce cœur généreux. Elle écoutait silencieuse, mais pâle et les yeux pleins de larmes. Elle m’a écrit, depuis, une lettre qui m’a profondément touchée et qui, comme tout ce qui est pur et saint, a fait battre en moi la vie. La Vie, quel mot, quand on sait que la Vie, c’est Dieu, – Dieu l’amour et notre fin… »