p.103 – note 1

 

Abbé Félix Klein, Madeleine Semer, convertie et mystique, p.259 :

« Je viens à vous puisque vous avez besoin d’une "tendresse humaine". Mais que cela m’étonne ! non pas que je sois dure et ne sente pas la douceur d’aimer, vous le savez bien, mais parce que je sens davantage que l’amour de Dieu est tellement au-dessus de toutes les tendresses humaines, qu’aucune ne pourrait me consoler de sa perte, qu’aucune ne peut faire mon bonheur sans lui. Il est le seul nécessaire à ma raison, à mon cœur, à mon être entier. Sans lui plus rien ne compte. Avec lui je peux me passer de tout et, quant aux créatures, je n’ai besoin que de leur bonheur pour être heureuse par elles ; et, comme le mien, ce bonheur n’est qu’en Dieu. »